samedi 6 décembre 2008

Boumerdes


Wilaya de Boumerdès


Aperçu historiqueBoumerdès est plus connue sous le référent de (Rocher Noir), elle a servi de siège à l'exécutif provisoire de la République Algérienne.Sur le plan civilisationnel, outre des ruines romaines mises à jour dans les environs de Thénia et si Mustapha le Fort turc de Tamenfoust atteste, lui, de la présence Ottomane dans la région. Les fouilles dévoileront peut être les traces d'autres civilisations.
Géographie physique

Superficie (km2) : 1558,39

Nombre de communes : 38

Nombre de daïras : 04

Nom des daïras :

Boudouaou, Bordj Ménaïel, Dellys. ...Principales localités : Afir, Ammal, Baghlia, Ben Choud, Beni Amrane, Bordj Menaiel, Boudouaou, Boudouaou El Bahri, Boumerdes, Bouzegza Keddara, Chabeut El Ameur, Corso, Dellys, Djinet, El Kharrouba, Hammedi, Haraoua Isser, Khemis El Khechna, Larbatache, Leghata Marsa Naciria, Ouled Aissa, Ouled Hedadj, Ouled Moussa, Si Mustapha, Sidi Daoud, Souk El Had, Taourga, Thenia, Tidjelabine, Timezrit, Zemmouri.Relief : climat méditerranéen, pluviométrie entre 250 et 350 mm/an.
TourismeSites et monuments : Fort turc de Tamentfoust, vieille ville de Dellys (Casbah), belles plages et jardins.
Codes postaux

35000 Boumerdes, 35100 Dellys, 35101 Takdempt, 35110 Afir, 35120 Benchoud, 35130 Baghlia, 35131 Ouled Hamida, 35132 Fourar Ain Sebaou, 35140 Taourga, 35150 Sidi Daoud, 35151 Tchouchfi Bouberak, 35200 Bordj Menaiel, 35201 Rouafa, 35202 Tizi Nali Slimane, 35210 Djinet, 35211 Haouche ben Ouali, 35220 Chabet el Ameur, 35230 Isser, 35231 Isserville, 35232 Kehf el Gharbi, 35250 Naciria, 35260 Zemmouri, 35261 Koudiat el Arais, 35262 Boudhar, 35270 Si Mustapha, 35280 Leghata, 35300 Rouiba, 35310 Ain Taya, 35320 Bordj el Bahri, 35321 El Marsa, 35350 Khemis el Khechna, 35351 Bou Hamedi, 35352 Chebacheb, 35353 Khemis el Khechna, 35370 Larbatache, 35400 Boudouaou, 35420 Corso, 35425 Beni Amrane, 35426 Bouaidel, 35427 Haddada, 35428 Zenina, 35440 Ouled Moussa, 35450 El Kharouba, 35460 Reghaia, 35470 Thenia, 35471 Karma, 35480 Souk el Had, 35490 Tidjelabine.
Carte et météoLatitude : 36° 46' 0

NLongitude : 3° 28' 38

EAltitude : 41 mètres

Ain témouchente


Ain témouchente :



Aspect Général
Ain Temouchent et sa Wilaya (région) se trouve dans l'ouest algérien; elle occupe du point de vue géographique une situation privilégiée en raison de sa proximité par rapport à trois grandes villes à savoir : Oran au nord est (70 km du chef lieu de Wilaya), Sidi Bel Abbés au sud est (70 km) et Tlemcen au sud ouest (75 km),ainsi qu'a sa façade maritime d'une longueur de 80 km, traversant neuf communes (Beni Saf, Bouzedjar, Terga, Sidi Ben Adda, Oulhaca El Gherraba, Sidi Safi, Bouzedjar, Messaid, Ouled Kihal).
La Wilaya (région) regroupe actuellement huit (08) Dairate (canton) et vingt huit (28) Communes (Voir le tableau plus bas).


Cadre Géographique
La Wilaya de Ain Temouchent s'étend sur une superficie de 2.376.35 km², et se situe au nord ouest du pays;Les wilayate limitrophes sont Tlemcen, Sidi Bel Abbés et Oran.
Son relief est constitué par les ensembles physiques suivant:
La plaine de la M'leta
Le Sahel d'Oran (plateau de Guemra, les djebels Touila, Hammar et Touita).
Les hautes collines de Berkeche
A noter que la Sebkha d'Oran traverse deux communes de la Wilaya à savoir El Amria et Hassi El Ghella.

Accéssibilté
Notre région est dotée d'une infrastructure routiére et ferroviaire appréciable qui lui permet de bonnes liaisons internes et externes.
De plus son infrastructure portuaire est constituée par deux ports de pêche; ceux de Beni Saf et Bouzedjar.
Elle ne possède pas d'aéroport, mais son chef lieu se trouve à une heure de route de l'aéroport de Senia (Oran) et de Zenata (Tlemcen).


Curiosités touristiques
Notre région posséde plusieurs stations balnéaire tel que Rachgoun, Beni Saf (plage du puit), Terga, Sassel .... ou vous trouverez de belles plages de sable fin.
Des sources thermales importantes et à haute valeur thérapeutique existent aussi au niveau de la zone de Hammam Bouhadjar, zone anciennement volcanique.
A cela s'ajoute quelques sites archéologiques de renommée historique mondiale mais non exploités. Enfin notre région offre de beaux paysages alternant les plaines, les plateaux pierreux, les hautes collines et la mer.

Oran


Oran:


située au fond d'une baie ouverte au nord et dominée directement à l'ouest par la montagne escarpée de l'Aidour, est une agglomération qui s'étage de part et d'autre du profond ravin de l'Ouest-er-Rhi maintenant recouvert.

Oran a été une importante station préhistorique du nom d'Ifri (les cavernes en berbère) ainsi qu'en témoignent de nombreux abris dans les collines avoisinantes. Elle fut fondée, sous le nom de Ouahran en 937, par des marins andalous. En 1147, l'Almoravide Ibn Tachfine, fils du fondateur de Mostaganem et de Tâgrart (Tlemcen) devait y trouver la mort.

Le port d'Oran fut assez prospère sous la dynastie des Zianides de Tlemcen et entretenait des relations suivies avec les pays meditérranéens.

En 1509, Oran fut prise par l'armée espagnole du cardinal Ximénes, commandée par Pédro Navarro. Malgré plusieurs expéditions à l'intérieur des terres, les espagnols furent bloqués dans la ville jusqu'à 1708.

Le Bey Mustapha Ben youcef, surnommé Bouchlaghem, fondateur de la ville de Mascara et enterré à Mostaganem, s'empara de la ville d'Oran. En 1732, les espagnols y rentrèrent à la suite de la victoire remportée à Ain-El-Turck par le Comte de Montemar pour en sortir définitivement en 1792 à la suite du tremblement de terre qui détruisit la ville en 1790.

Les Beys de l'Ouest quittèrent Mascara et résidérent à Oran jusqu'en 1830.
En 1831, la France aprés avoir occupé Mers-Elkebir, entre à Oran
Après l'indépendance en 1962, Oran reprit sa vitalité, ses activités et mérite à nouveau sa qualité de métropole commerciale et résidentielle, voisine de la zne industrielle d'Arzew. La réalisation d'un campus universitaire est également le signe du remarquable essor de la ville d'Oran.

Pour y séjourner agréablement, vous trouvez à Oran plusieurs hôtels très confortables et de nombreux restaurants servant des spécialités algériennes, le théâtre régiona, la théâtre de verdure, les nightclub, le musée, la vieille ville d'Oran: quartier sidi-El-Houari, le jardin municipal, la Médina-El-Djdida avec ses produits artisanaux, la Cathédrale, le djebel Murdjadjo et les stations balnéaires voisines.

Annaba


PRESENTATION GENERALE DE LA WILAYA

Elle est limitée géographiquement :

Au Nord par la mer Méditerranée.
Au Sud par la wilaya de Guelma.
A l'Est par la wilaya d'El Tarf.
A l'Ouest par la wilaya de Skikda.
Elle s'étend sur une superficie de 1.412 km², et se caractérise . par un relief varié, constitué essentiellement de montagnes, de collines et de plaines.
• Les montagnes représentent 52,16 % du territoire de la Wilaya soit , une superficie de 736 km². Elles se distinguent par le massif de l'Edough dont le point culminant se situe au mont '' Bouzizi '' avec 1.100 m d'altitude.
• Les collines et les piémonts, occupent 25,82 % de la superficie totale , soit 365 km².
• Les plaines représentent 18,08 % du territoire soit 255 km², et sont constituées essentiellement par la plaine de Kherraza.
Le reste du relief est constitué de plateaux, et autres, représentant 3,94 % de la superficie, soit 56 km².
La wilaya de Annaba est constituée de six (06) Daïrates autour desquelles gravitent douze (12) communes, dont cinq (05) urbaines, en l'occurrence : Annaba, El Bouni, Sidi Amar, El Hadjar et Berrahal, qui totalisent à elles seules prés de 85 % de la population, soit 596.000 habitants
Au plan géophysique, la Wilaya occupe une position stratégique sur le littoral septentrional de la Méditerranée ; position confortée par un environnement et des potentialités géo- économiques qui en font un pôle d'attraction régional.
Une longue façade maritime qui s'étend sur 80 km de côtes, représentant un potentiel halieutique et touristique très important.
Une superficie agricole utile (SAU) de prés de 43.850 hectares représentant plus de 60 % des terres agricoles et bénéficiant d'une pluviométrie de prés de 1.100 mm / an en moyenne.
Un important réseau hydrographique composé d'oueds et de lacs.
Un massif forestier riche et varié occupant plus de 52,16 % de la superficie de la Wilaya
Elle dispose en outre d'atouts qui sont pour l'essentiel liés à sa fonction de métropole régionale, ainsi qu'à ses spécificités géo - morphologiques, à savoir :
Des conditions agro - pédologiques favorables avec des sols à hautes valeurs agricoles.
L'existence d'une base industrielle dense et diversifiée.
Un réseau d'infrastructures multimodal (aérien - terrestre - ferroviaire et maritime) assurant une bonne desserte de l'espace régional, ainsi que les connexions nécessaires aussi bien avec les autres régions du pays qu'avec le reste du monde.
Un technopôle universitaire avec un large éventail de spécialités technologiques .
Un potentiel touristique de premier ordre tant du point de vue des sites naturels qu'il recèle que des équipements d'accompagnement et des infrastructures de communications et d'accès existants .
Un marché en pleine expansion.

Constantine


Constantine


Constantine est la ville des ponts, elle a été construite sur un rocher de plus de 600 mètres d'altitude, entourée de profonds ravins, traversée par le Rhumel, tout ceci a donné à la ville sa puissance de citadelle.
Une vue saisissante est offerte depuis la route de Skikda avant d'arriver en ville. Sortant d'une forêt de pins et d'Eucalyptus - le visiteur découvre soudain une haute et longue barrière calcaire, fendue par un coup de sabre. Deux possibilités :
1/Suivre la nationale qui, taillée dans le roc, s'insère à l'intérieur du ravin et, sous le nom du chemin de la Corniche passe sous un premier pont suspendu, traverse plusieurs tunnels et atteint le pont de pierre d'El-Kantara.
2/Prendre à droite de la Nationale, passer au pied du rocher haut de 200 m, d'où le Rhumel s'échappe en bondissant : le pont des Chutes dominé par un arc naturel. On arrive à la ville à travers les quartiers populaires étagés jusqu'à la place des Martyrs.
Les ponts sont plutôt des stèles à la mémoire des "bagnards" de la Casbah, qui en furent les artisans et la main-d'oeuvre. On fredonnera longtemps à leur mémoire le refrain tragique de `Ya El Menfi' (exilé)... vers Cayenne, Madagascar ou la Nouvelle-Calédonie. La nécessité de construire des ponts afin de franchir les obstacles naturels de Constantine s'avérait vitale.
1-Le pont d'El-Kantara avait permis l'échange avec le Nord à travers la route de Skikda vers les régions de Jijel et Béjaïa. Il fut construit en 1792 par Salah Bey sur les ruines du pont romain. Le 18 mars 1857, il s'effondra après le passage d'un détachement d'infanterie de l'armée française. Sa réédification a duré trois ans.
2-Le pont de Sidi Rached est une oeuvre grandiose de 447 mètres de long, reposant sur 27 arches dont 13 ont 8,80 mètres d'ouverture, une 30 mètres et une autre 70 mètres enjambant le profond ravin. La largeur du plancher est de 12 mètres comportant deux trottoirs. Ces caractéristiques en font l'un des plus beaux ponts au monde. Sa construction lancée en 1908 avait duré quatre ans. Cet immense viaduc de pierre ouvre le centre de la ville à la gare et à l'axe routier du Sud-Est : El Khroub-Batna-Biskra.
3-Le pont suspendu de Sidi M'cid, le plus élevé de tous, est la réalisation la plus audacieuse. Il fait, sur une longueur de 164 mètres et 5,70 mètres de largeur, la jonction entre les deux parois rocheuses du Rhumel qui se trouve à 175 mètres de profondeur. Ce pont relie la partie haute du rocher aux hauteurs qui dominent la verdoyante vallée de Hamma. L'idée de sa construction est venue après l'ouverture en 1876, de l'hôpital et, pour s'y rendre jadis, les Constantinois devaient faire un long détour par El-Kantara. Ce pont autorise une charge de 17 tonnes.
CIRTAConstantine fut édifiée environ 3000 ans avant J.C., les Numides étaient les véritables habitants. On conserve les Grottes des Ours et du Mouflon dont la majorité du mobilier archéologique se trouve actuellement au musée de Cirta.
Massinissa était roi de Numidie, il fit de Cirta (Constantine à l'époque) la capitale de son royaume. Cirta connut rapidement un essor économique extraordinaire. Cet essor fut favorisé par la position géographique même de la ville.La ville fut prise par les romains, et reçue le nom de Constantine en hommage à l'empereur romain Constantin.L'arrivée de la civilisation musulmane donna à la ville une autre dimension, à savoir une dimension culturelle, scientifique et religieuse. La ville fut conquise par les francais en 1837, après deux sièges (le premier ayant été en 1836, s'est soldé par la défaite de l'armée francaise). Elle connut une autre étape de son histoire tumultueuse. Constantine garde en elle les traces de toutes les civilisations qu'elle a connu :
De la civilisation numide, le visiteur trouvera le tombeau de Massinissa au Khroub à 16 km du centre ville, ou encore les ruines d'un fort militaire Tidis se trouvant à trente kilomètres de la ville.
De la civilisation romaine, la statue de Constantin devant la gare de chemin de fer au centre ville (à Bab El Kantara), ou encore le viaduc qui se trouve à la lisière de la ville sur le chemin de l'aéroport international (Mohamed Boudiaf) de la ville.
De la civilisation Arabo-Musulmane, la vieille ville qui est en soi un joyau architectural. De la civilisation turque, le palais du Bey.
De la civilisation francaise, la ville européenne.
Site Naturel : Lac à Djebel El Ouahch
Palais du Bey : Ce palais est la trace vivante de la civilisation Ottomane. Sa construction fut entreprise en 1927. Inauguré en 1835 et ne tarda pas à être occupé par l'armée française et visité par Napoléon III.
Tidis A 30 km de Constantine : un merveilleux site étagé s'offre au regard, implanté sur un ensemble de rochers durs de grande hauteur. Le site avait existé avant la conquête romaine.
Le monument aux morts : C'est un magnifique arc de triomphe, élevé à la mémoire des soldats morts durant la première guerre mondiale. Il est la replique de celui de Trajan qui s'élève au milieu des ruines romaines de Timgad
La grande mosquée : Selon les écritures trouvées sur son minaret, elle est l'oeuvre de l'Etat Ziride en l'an 1136. Depuis lors elle garde la même vocation, à savoir la prière et la fatwa
Constantine est amoureuse de tout ce mélange culturel et civilisationnel. Elle rassemble tout son patrimoine culturel dans un musée situé sur le plateau du Coudiat. Ce musée est à visiter. Constantine est fière aussi de ses ponts.
Source : Site de Djamila Djemila.be

Bejaia




CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES






S'étendant sur une superficie de 3.261,26 Km², la Wilaya de Bejaïa (Vgayeth) est limitée du point de vue administratif par :
- La Wilaya de Jijel à l'est- Les Wilaya de Bouira et de Tizi-Ouzou à l'ouest- Les Wilaya de Sétif et de Bordj Bou Arreridj au sud
Géographiquement, elle est limitée à l'est et au sud-est par les Babors auxquels viennent se souder les Bibans au Sud, la Mer Méditerranée au Nord et les Crêtes du Djurdjura à l'ouest complète les limités géographiques de la Wilaya.
La Wilaya de Bejaïa est caractérisée par la prédominance de Zones montagneuses.
Elle se présente comme une masse montagneuse compacte et bosselée, traversée par le couloir formé par la vallée de la Soummam.
On peut Distinguer :
- Une zone Côtière- La vallée de la Soummam- La zone de Montagne




LA ZONE COTIERE


Cette zone s'étend de l'embouchure de l'Oued Soummam à celui de l'Oued Agrioun soit une trentaine de Km environ.



Cette bande côtière, retardée au niveau des villages de Tichy et d'Aokas, étroite (200 à 2.000 mètres) et principalement composée de terre sablonneuse du fait de la pression maritime proche.
Les bassins des Oueds assez larges du fait des crues sont formés de dépôts alluvionnaires d'origine montagneuse.
LA VALLÉE DE LA SOUMMAM




Enserrée entre l'ensemble Akfadou-Gouraya au Nord et la chaîne des Bibans au sud. La vallée de la Soummam apparaît comme une étroite bande sinueuse de 80 Km de long (à l'intérieur de la Wilaya) sur une largeur maximum de 4 Km à El-Kseur.


Les versants particulièrement au sud, sont des pentes relativement douces et donc très développées. Cette zone est décomposée en petites unités pédologiques différentes : le Flys l'emporte à Akbou, le grés est prépondérant à El-Kseur.
Les communes d'Amizour, d'El-Kseur, d'Ouzellaguen, de Timezrit et de Tazmalt possèdent de vastes espaces propres à des cultures riches telles que le maraîchage et l'arboriculture fruitière.



LA ZONE DE MONTAGNE

Constituée de la chaîne des Bibans Babors et de l'ensemble Akfadou-Gouraya, elle occupe les trois quarts de la superficie totale de la Wilaya et présente des pentes partout supérieures à 25%.
Les sols en majorité silicieux sont érodés.


DONNÉES CLIMATIQUES

La Wilaya de Vgayeth reçoit en moyenne 670 à 1.000 Mm de pluies par an.
Les températures sont adoucies sur le littoral (Hiver doux, été chaud) un peu moins dans la vallée de la Soummam. La zone de montagne voit au contraire des gelées fréquentes.
Les vents dominants sont les vents du nord-ouest (vents marins qui s'engouffrent facilement dans la vallée de la Soummam). Le littoral n'est pas à l'abri du Sirocco


HYDRAULIQUE

Faisant partie d'une région assez arrosée, la Wilaya de Vgayeth est traversée par plusieurs Oueds, les plus importants sont :
l'Oued Soummam
l'Oued Djemâa
l'Oued Agrioun
l'Oued Zitoun
l'Oued Bou-Sellam
l'Oued Amassin


Tizi ouzou


Tizi ouzou :




Code Wilaya : 15
Code Postal : 15000
Adresse

Tel : 026.21.15.00 ( Indicatif Tel : 026 )
Fax
Origine du Nom
Kabyle : «le col des genêts»
Situation et accès
Altitude 190 m. 133 km à l'Ouest de Bejaia. 285 km à l'Ouest de Constantine. A 103 Kms à l'Est d'Alger
Population (Hab) : 1108708
Superficie (Km²) : 3568
Densite (H/Km²) : 310.74



Présentation :


Tizi-Ouzou, dont le nom signifie " col des Genêts ", a été fondée par les Romains, elle a ensuite abrité un "Bordj" Turc, puis place commerciale (Souk Sebt) et serait peut-être demeurée chemin de passage si ce n'est le choix de l'occupant français qui a fait d'elle une ville fortifiée, lui permettant une surveillance efficace de la région montagneuse et réputée farouche à toute incursion étrangère. Tizi-Ouzou s'impose sur le plan historique comme l'une des wilayas ayant fourni une pléthore de résistants et de combattants tels: Lalla Fatma N'soumeur Amirouche, Krim Belkacem, Ouamrane, Abbane Ramdane et bien d'autres. A une centaine de kilomètres d'Alger, la wilaya de grande Kabylie, pays des figues et des olives possède tous les attraits susceptibles de séduire le touriste. En été, grâce à la pureté de l'air des montagnes et des forêts, la chaleur n'y est jamais pénible, en hiver, sur les pentes enneigées du Djurdjura, les skieurs y trouvent leur bonheur, au printemps les essences variées des plantes et des arbres des forets de Yakouren et d'Akfadou embaument l'air environnant. Dans cette wilaya du centre de l'Algérie, d'autres villes méritent l'attention du "visiteur", telles Tigzirt cette station balnéaire de la côte située sur l'ancien site Phénicien de "Rusgunias " et de la ville Romaine de "L'omnium", ou Beni-Yeni ce village bâti sur la crête d'une montagne et qui tient sa réputation des beaux bijoux typiques qu'il produit, ou alors Ain-EI-Hammam avec ses magnifiques panoramas sur les sommets de Ras Timedouine et Lalla-Khédidja. Sur le plan économique, la wilaya a une présence assez modeste avec un tissu industriel certes assez important (Complexes, textile à Draà Ben-Khedda, électroménager à Oued Aïssi et mécanique à Azazga) mais une agriculture qui n'atteint pas la suffisance.